Nantes, samedi 22 février 2004, la fin de la manifestation contre la destruction du bocage à Notre-Dame-des-Landes.
Comprendre, avec les déclarations des paysans et paysannes, des biologistes ou des élues et élus, l’état d’esprit de celles et de ceux qui aimeraient qu’enfin nos politiques oublient les rêves de destruction des terres, les fascinations pour les surconsommations, l’illusion d’une croissance infinie dans un monde fini.
Comprendre que les opposants et opposantes à la destruction du Bocage de Notre-Dame-des-Landes demandent résolument une chose, que nos politiques se tournent vers l’avenir, la vie.
Paix et amour,
François NICOLAS, REZE(44)
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