L’actualité des forces révolutionnaires syriennes:
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SAVE ME |
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Il y a eu les printemps arabes, cette vague de manifestations pacifiques qui ont secoué certaines dictatures. En Syrie, les dirigeants économiques et politiques se sont défendus par les armes contre ces adolescent-e-s, ces citoyen-ne-s qui, par leur seules revendications pacifiques, menaçaient la manne financière que représente l’asservissement de tout un peuple. Les opposant-e-s ont été massivement arrêté-e-s, torturé-e-s, tué-e-s.
Ça n’a pas suffit, le peuple a fini par s’armer contre sa propre police et sa propre armée qui le massacrait. La dictature n’allait pas pouvoir tenir.
Sauf que… Sauf que ça n’arrangeait ni les autres dictatures, ni les dirigeant-e-s économiques qui, grâce à ces autres dictatures, s’approvisionnent en matières premières et énergies fossiles et craignent avant toutes autres choses l’émergence de démocraties qui risqueraient de ne plus vouloir se laisser piller.
Du coup, l’auto-proclamé État Islamique, cet ennemi des peuples, cet allié temporaire de tous les régimes autoritaires et de tous les dirigeants économiques qui trouvent en celui-ci l’excuse idéale pour consolider leurs combats contre la liberté, l’égalité et la fraternité, du coup, disais-je, l’État Islamique est entré dans cette guerre civile et le peuple syrien s’est retrouvé pris en enclume entre l’armée de la dictature en place et l’armée de la dictature islamique en devenir.
Aujourd’hui, l’État Islamique est en perte de vitesse et les dirigeants syriens, avec l’aide de l’armée russe, profitent de l’affaiblissement des forces révolutionnaires syrienne, usées par cette guerre contre l’auto-proclamé État Islamique, pour, de bombardement en sièges, d’emprisonnement en exécutions sommaires, amplifier le massacre de ces femmes, hommes et enfants qui chérissent l’idée de vivre libres.
Aujourd’hui, les révolutionnaires de Syrie nous appelle à l’aide. Loin des « objectifs atteints » et « dommage collatéraux » il nous donne à voir ces enfants pour qui ils se battent, celles et ceux qui meurent sous les bombes ou d’être affamé-e-s par l’armée de leur propre pays et vont continuer de mourir si nous continuons à leur fermer la porte.
Alors que la France était bien moins riche, nous nous sommes mobilisés en faveur des réfugiés du Viet-Nam, mobilisons-nous pour les réfugiés Syrien, ne les laissons plus mourir à notre porte.
François NICOLAS, REZE(44)
www.mingata.eu